Confortablement installée dans un fauteuil, la personne écoute de la musique ou regarde un film, elle peut même somnoler. Grâce à des capteurs posés sur la tête le logiciel NeurOptimal mesure l’activité électrique globale du cerveau qui provient de l’échange entre les neurones, et l’analyse en temps réel, puis quand il détecte un changement brutal d’activité (indicateur d’un fonctionnement mal régulé) il interrompt discrètement le son (de la musique ou du film regardé). Cette interruption surprend le cerveau qui cherche à se réorienter. Très rapidement l’environnement est évalué, et, n’étant pas vecteur de stress, une réponse de détente peut se faire. Le cerveau a réagi, a corrigé, harmonisé son activité (électrique et donc chimique) en se réadaptant à la situation du moment : calme. Ensuite il mémorise cette nouvelle façon de gérer. Il s’est auto régulé. Cette adaptation lui permet de créer de nouvelles connexions, de devenir plus flexible. En quelque sorte, tout comme un GPS signale un changement de direction, l’interruption du son (le feedback) est un signal pour le cerveau qui corrige de lui-même la « direction » qu’il était en train de prendre : une soudaine variation de son activité électrique en inadéquation avec le vécu du moment présent. Les séances de Neurofeedback NeurOptimal® vont ainsi permettre des changements sensibles tant sur un plan physiologique, qu’émotionnel ou comportemental. C’est ainsi que nous n’avons pas à faire quoique ce soit, nous sommes passifs car, la pertinence de cette méthode est basée sur un processus d’apprentissage non conscient. Les effets ne peuvent être que bénéfiques, car la méthode s’inscrit sur une régulation (comme par exemple la régulation naturelle de la température du corps ou du taux de sucre dans le sang). Les séances de Neurofeedback vont ainsi permettre des changements sensibles tant sur un plan physiologique, qu’émotionnel ou comportemental. C’est ainsi que nous n’avons pas à faire quoique ce soit, nous sommes passif car, la pertinence de cette méthode est basée sur les processus d’apprentissage qui sont non conscients par définition, le cerveau se réorganise, des changements positifs s’expriment.


  • Catégorie : Session NeurOptimal®
  • Durée: 01:00 Heures
  • Adresse: 77138 Luzancy, France (Carte)

Prix :55

 

Description

1. Amélioration de l’état de santé
Bien que le système NeurOptimal® ne soit pas un traitement médical et qu’il ne se substitue pas à une démarche thérapeutique, le cerveau s’auto-régulant, des changements s’effectuent dans beaucoup de domaines :
Ainsi sont documentées, en terme d’amélioration, par la littérature, principalement les affections ci-dessous :
Insomnie, boulimie, dépression, conduites addictives, acouphènes, aménorrhées, symptômes liés à la ménopause, fibromyalgie, autisme, syndrome d’Asperger, épilepsie, maladie de Parkinson, difficultés motrices rencontrées suite à un AVC ou de naissance (enfants).
Les parents d’enfants handicapés cérébraux moteurs connaissent le neurofeedback dynamique pour ses bienfaits précieux, les associations Dominique, Neuf de Coeur et l’institut Devenir par ex. en témoignent.
2.  Amélioration des apprentissages chez les enfants & les étudiants
Le système NeurOptimal® améliore l’attention, la concentration, la mémoire, augmente la sérénité et permet une meilleure compréhension, lecture, motricité, coordination, gestion des émotions, des peurs, une meilleure communication.
Ainsi sont observées, des améliorations pour ce qui est des troubles liés à l’anxiété, les angoisses, le stress post-traumatique, TOC, phobies,  et insomnies et des liens importants sont faits entre le Neurofeedback dynamique et l’aide apportée aux  enfants atteints d’autisme (650.000 aujourd’hui en France).
Enfin, de nombreuses études scientifiques démontrent l’efficacité de la méthode de Neurofeedback sur les personnes atteintes de Trouble du Déficit de l’Attention et/ou Hyperactivité (TDAH). Le Neurofeedback a fait en 2006-2008 l’objet d’une étude pour le traitement du TDA/H au Laboratoire de Neurosciences Fonctionnelles et Pathologies du CHU d’Amiens (UMR 8160, unité du CNRS) :
Cette étude publiée en 2011 compare les effets du neurofeedback réalisé avec le logiciel NeuroCARE (aujourd’hui rebaptisé NeurOptimal) et ceux de la Ritaline sur des enfants atteints de ce trouble. Le détail de cette étude se trouve à l’adresse suivante: http://www.adnf.org/Neurofeedback_France_TDAH.htm.
Personnellement après quelques séances, seulement, les parents me rapportent généralement des améliorations significatives.


3. Amélioration des performances de haut niveau des musiciens, danseurs, athlètes, cadres exécutifs :
Le système NeurOptimal® améliore la concentration, la mémoire, la coordination, l’agilité, la détente, la gestion de stress et permet une augmentation des performances physiques, physiologiques, cognitives, comportementales et il est assez simple de se documenter sur le sujet, souvent peu évoqué, chaque sportif de haut niveau mettant toutes les chances de son côté sans pour autant en parler à son voisin.
« Le neurofeedback est l’avenir des sports de compétition. Cela m’a aidé à me concentrer et à rester détendu malgré la pression. » Richard Faulds,
médaille d’Or aux Jeux Olympiques de Sydney (2000) 


La première séance découverte de neurofeedback dynamique dure 1h15. Nous regardons ensemble quelles sont vos attentes des séances de neurofeedback, quelles sont les questionnements que vous avez et je vous explique en détail comment le travail va se dérouler. 
Lors des séances de Neurofeedback dynamique, il y a une phase d’entrainement réelle de 33 minutes. Les séances suivantes de Neurofeedback durent quant à elles 1 heure.
« Je pense que toutes les compétitions nécessitent de la concentration. Des échecs aux compétitions de mémorisation et du golf au ball-trap, les champions de demain devront aiguiser leur esprit par le neurofeedback. Le sportif qui ignore cette technologie révolutionnaire sera dépassé. »
Dominic O’Brien, World Memory Champion
« Plusieurs athlètes ne jurent que par [le neurofeedback] et disent que cela améliore leur performance. Parmi eux, la championne de tennis Mary Pierce et le skieur médaille d’or olympique Hermann Maier, sans parler des divers joueurs de l’équipe de football italienne vainqueur de la coupe du monde 2006. Le but du neurofeedback qui devient de plus en plus populaire pour les professionnels comme pour les amateurs est d’entraîner le cerveau de telle sorte qu’un athlète puisse rester concentré en compétition. […] sur tout le territoire américain, des athlètes ont discrètement entraîné leur cerveau [par le neurofeedback]. Presque aucun n’en parlera. J’ai demandé pourquoi au principal fabricant d’équipements. «Ils ne veulent pas que leurs concurrents sachent qu’ils le font» m’a répondu Larry Klein, le cofondateur de Thought Technology à Montréal. «Car ils s’y mettraient aussi et annuleraient leur avantage». » D.T. Max, Journaliste à Men’s Vogue